Alain Duhamel et Ségolène Royal (21/10/2006)

medium_images.17.jpgAlain Duhamel a le droit de critiquer sévèrement Ségolène Royal, et de l'écrire.  La gaffe de Ségolène, qui l'a conduite à dire, au sujet de la Turquie, "mon opinion est celle du peuple français", peut effectivement prêter à du soupçon, même si une lecture en contexte conduit à conclure à une "boulette" plus qu'à un mode de fonctionnement régulier.

Mais sa sévérité, un peu excessive, ne serait-elle pas d'autant plus vive qu'il a oublié d'intégrer la candidate dans son livre pré-présidentielle, "Les prétendants", où figurent quinze portraits... mais pas celui de la Reine Ségolène?

Pour ma part, promis, d'ici à fin octobre, je publierai un article sur la pertinence socio-politique de la candidature Royal. Non, ce ne sera pas une déclaration d'amour enflammée, plutôt un éclairage analytique de la situation à la manière de celui d'Emmanuel Todd en 1994-95 à l'occasion de la candidature Chirac contre Balladur. A suivre!

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