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Emil Ferris et les monstres familiers

my-favorite-thing-is-monsters.jpgCi-contre, voici Deeze, le grand-frère encombrant, avec un Jésus tatoué sur l'épaule. Il fait partie du roman graphique de plus de 400 pages publiée par Emil Ferris (après 48 refus d'éditeurs). Une plongée étourdissante dans le Chicago populaire des années 1960, non sans vertiges, monstruosités, enfers et paradis artificiels. Cette BD hors norme vient de remporter un prestigieux prix à Angoulême (lire ci-dessous).

Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître. L’Américaine Emil Ferris s’est vu décerner, samedi 26 janvier, le fauve d’or du meilleur album de l’année écoulée pour Moi, ce que j’aime, c’est les monstres (Monsieur Toussaint Louverture), à l’occasion du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême. Il s’agit du tout premier roman graphique de cette illustratrice de 56 ans qui n’avait même jamais publié de livre auparavant.

Lire la suite ici (lien).

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