On a tout dit, ou presque, sur l'incroyable sauvetage des 33 mineurs chiliens, 2000 pieds sous terre (mine de San José). On a admiré la résilience de ces hommes enterrés vivants, mais aussi l'ingénosité et la détermination des sauveteurs, parvenus finalement à leurs fins les 12 et 13 octobre 2010.
On a glosé sur les récupérations politiques, les dérives de la médiatisation. Même la dimension religieuse, il est vrai massive, n'a pas échappé au regard.