Certains m’ont reproché d’être trop dur avec ce «pauvre» Benny Hinn, télévangéliste dont j’ai récemment décrit les méthodes. Je n’étais pas dur.
Je décrivais des faits, et, comme disait Clémenceau, «les faits sont têtus».
Dernier épisode : au terme des délais fixés par l’enquête sénatoriale américaine dilligentée par le sénateur républicain Charles Grassley (ci-dessus), seuls deux télévangélistes de l’Evangile de la prospérité soupçonnés sur six ont donné à temps les documents financiers demandés. Devinez si Hinn en fait partie?