Jean-Paul Kremer a 17 ans lorsqu'il est jeté dans les camps : d'abord celui de Nutzweiler-Struthof, en Alsace, puis celui de Buchenwald. Son crime ? Avoir refusé le salut nazi au lycée, l'incorporation dans la Wehrmacht et le serment de fidélité à Hitler.
Sa résistance est une résistance spirituelle. Protestant, appartenant à la minorité des mennonites d'Alsace, il juge l'idéologie hitlérienne incompatible avec ses convictions. En conséquence, il vivra le calvaire des "déportés pour la foi". A la différence des communistes, ces derniers sont peu nombreux dans les camps, et sont rarement en mesure d'organiser une solidarité confessionnelle.
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