En dépit des réserves que l'on peut légitimement cultiver vis-à-vis de ce que j'appelle l"indignation subventionnée (associations qui vivent en priorité de l'argent public), la CIMADE effectue, de longue date, un travail remarquable auprès des migrants.
Son dernier rapport, bien documenté, vaut le détour. Particulièrement sévère vis-à-vis de l'évolution des politiques publiques, souvent à raison, il formule aussi des propositions constructives.
Pour qui s'intéresse aux territoires circulatoires de la francophonie, lire et relire cet article important de Dominique Wolton sur le rapport "Francophonie et migrations internationales".