Les journées révolutionnaires des Trois Glorieuses à Paris avaient ouvert les plus grands espoirs pour la diffusion évangélique dans les pays francophones. On voit apparaître, à quelques mois de distance, les premières tentatives à Paris, Genève, mais aussi Nîmes, Lyon et Toulouse ou Lausanne.
Le premier rapport de la Société Évangélique de Genève (SEG) fait le bilan, à la fin du printemps 1832, des efforts alors en cours en Suisse romande, et de la profonde mutation qui se prépare. Un comité du colportage a été créé au sein de la SEG par un petit noyau de militants, à la fois jeunes et remplis d’enthousiasme.
Pour lire la suite de cette remarquable plongée dans les débuts de la relance du colportage francophone protestant dans le premier tiers du XIXe siècle, cliquer ici (blog de l'historien Jean-Yves Carluer)