La révolution numérique a rétréci la distance entre l’expression du désir et son assouvissement. Solliciter une information demandait du temps. Aujourd’hui, en quelques clics, l’info est trouvée. Il suffit de toucher l’icône de son appli et une réponse apparaît. Les chrétiens se sont adaptés à cette nouvelle donne. Passés de Gutenberg à Zuckerberg, les protestants ont multiplié les opportunités d’enseignement, d’édification, de mobilisation. Mais ce miracle numérique a son revers.
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