Une fois n'est pas coutume, ce post est plus particulièrement à destination des chercheurs qui parlent ou lisent l'anglais. Il renvoie à un excellent article de Stephen Curry, dans le Guardian, qui traite de l'enjeu des revues académiques, de plus en plus soumises à de gros intérêts financiers (qui ne riment pas toujours avec l'intérêt de la recherche).
Il déclare qu'il est "temps que les universitaires reprennent le contrôle des revues de recherche", et se libèrent quelque peu de la tyrannie croissante de l'évaluation métrique (rangs, scores, stats de citations etc...), qui révèle, derrière une apparente scientificité, une vacuité sidérale.