De quelle manière le Gospel francophone, toujours aussi populaire, impacte aujourd’hui ses publics?
Face au mal, au stigmate, aux dominants, à la tentation de la vengeance, cette musique ancrée dans le protestantisme propose des réponses, qui vont au-delà du déni euphorique.
Pour en savoir plus, cliquer ici (Fil-info Francophonie sur Regardsprotestants.com)
Commentaires
Après lecture de l'analyse de Regards Protestants donnée en "lien", je me demande comment pourrait être pensée la différence entre "résilience", au sens de Cyrulnik et "espérance", étayée sur tous les refus de victimisation pointés dans ce texte. La foi transforme-t-elle le croyant plus à fond que la résilience commune? AncheK6
Le gospel francophone a bien évolué (heureusement) par rapport à ce qui se fait dans les pays anglo-saxons depuis des décennies. Des gens comme Marc Brunet ("Séphora Musique" depuis peu, devenu "Paul & Séphora"), Piero Battery (Battery Sound), ou le groupe Exo, ou le couple Claude & Julia Payan (depuis les années 80 tout en gardant une certaine fraîcheur innovante et actuelle par rapport à leurs début), ou les artistes québécois que j'ai déjà cité ici (Luc Dumont, Stéphane Quéry, etc...), tous ces gens ont contribué à faire grandir le Gospel et le rendre accessible à tous, en respectant les goûts musicaux de chacun (louange, rock, country, rap, hip-hop, R'nB, folk, celtic, etc...). Le gospel, en une expression, pour moi, c'est la musique de l'âme!!!