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Etudiants étrangers: hausse des droits d'inscription en question

étudiants étrangers,fraternité,justice,recherche,doctorants,francophonie,afrique,edouard philippe,enseignement supérieur,gsrlQuand les étudiants internationaux cherchent à rejoindre une université étrangère, ils privilégient les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Australie puis la France, selon une étude publiée en novembre 2018 par l'agence Campus France (lien).

Toujours suivant Campus France, l'accueil des étudiants étrangers coûterait chaque année 3 milliards d'euros par an à la France mais rapporterait 4,65 milliards d'euros.

L'annonce faite par le premier ministre, Edouard Philippe, le 19 novembre dernier, d'augmenter très fortement les droits d'inscription des étudiants étrangers hors Union Européenne (lien), s'inscrit dans une tendance qui touche de nombreux pays. Mais elle va logiquement induire, en cette année 2019, des demandes de clarification, et un débat sur les modalités.

Les établissements universitaires, les laboratoires, dont le GSRL, sont vigilants sur ce dossier. Les collaborations internationales, les horizons cruciaux de la francophonie (notamment vers l'Afrique) ont besoin de tous les talents, et pas seulement des étudiants les plus riches, et nécessitent aussi le respect des parcours (et des arbitrages) déjà engagés par les doctorants.

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