Quand les étudiants internationaux cherchent à rejoindre une université étrangère, ils privilégient les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l'Australie puis la France, selon une étude publiée en novembre 2018 par l'agence Campus France (lien).
Toujours suivant Campus France, l'accueil des étudiants étrangers coûterait chaque année 3 milliards d'euros par an à la France mais rapporterait 4,65 milliards d'euros.
L'annonce faite par le premier ministre, Edouard Philippe, le 19 novembre dernier, d'augmenter très fortement les droits d'inscription des étudiants étrangers hors Union Européenne (lien), s'inscrit dans une tendance qui touche de nombreux pays. Mais elle va logiquement induire, en cette année 2019, des demandes de clarification, et un débat sur les modalités.
Les établissements universitaires, les laboratoires, dont le GSRL, sont vigilants sur ce dossier. Les collaborations internationales, les horizons cruciaux de la francophonie (notamment vers l'Afrique) ont besoin de tous les talents, et pas seulement des étudiants les plus riches, et nécessitent aussi le respect des parcours (et des arbitrages) déjà engagés par les doctorants.











Non je ne parle pas de Jésus, ni de Zineddine Zidane venu l’an dernier assurer la qualif’ de l’équipe de France de football. Je parle de la fameuse histoire d’Arezki Belarbi, un enfant tombé dans le canal de la Marne-au-Rhin à Vendenheim (Alsace) le 20 avril 2006, et sauvé des eaux par un inconnu.
Un entretien à lire absolument. Max Weber ne me contredirait pas : le prophète est un leader charismatique dont le discours ne relève pas d’une position institutionnelle autorisée, mais d’une vocation individuelle, souvent en rupture avec le discours dominant. A sa manière, l’international de l’équipe de France Lilian Thuram relève bien de cette catégorie.