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Réinventer l'école ? Dossier de la revue Sciences Humaines

15813396642_GD58_258.jpg"Bonheur d’apprendre, bonheur d’enseigner… Cette image idyllique de l’institution scolaire peut sembler trompeuse. Devant les difficultés qui assaillent l’école, nombreuses sont les voix à pointer plutôt l’ennui ou la démotivation des élèves, les violences scolaires, le stress et la fatigue des enseignants confrontés à des classes devenues parfois ingérables. Depuis trente ans, l’école de Jules Ferry est devenue un lieu de tensions. Autrefois sanctuaire, elle accueille en son sein toute la diversité sociale et culturelle de nos sociétés postmodernes. Elle doit composer, non sans mal, avec des problèmes sociaux auxquels elle n’était pas préparée.(...)

Face à ces mutations, certains enseignants ont décidé de changer leurs méthodes. Depuis une décennie en particulier, des innovations de grande ampleur se font jour (...). Le magazine Sciences Humaines a décidé d’enquêter sur ces nouvelles façons de faire école". 

Un beau dossier à découvrir ici (lien).

Commentaires

  • Bjr, Nul doute que le dit confinement, en tant qu'il n'est pas un "huis-clos", interpelle l'école. mais en retour celle-ci interpelle la société: à force de souligner l'aspect formel d'un "système" scolaire prétendûment rationnel, nous avons négligé ou réprimé les orientations novatrices, subversives, amorcées dès le début de l'école laïque, en négligeant la recherche d'ouverture référentielle, l'éducation de la sensibilité, le débat et l'argumentation. La notion de "rythme", par ex.,engluée dans des alternatives d'emploi du temps, reflète l'impossibilité de concevoir les "mesures" autrement que comme quantitatives. De même, la promotion, à mes yeux discutable du "fait religieux" (qui est historique, civique, sociologique, philosophique transversalement et non comme fait "positiviste"), rabat la laïcité sur des connaissances en retrait, qui ne permettent pas d'examiner contradictoirement, mais avec délicatesse, les diverses postures du "croire", qui se croient dédouanées de tout contrôle dès lors que désinsérées du "religieux", comme si la spiritualité se réduisait aux "systèmes", là aussi. Ah! les croyances en "réseaux"... Quel imbroglio! Bon, il y a de l'ouvrage... gef

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