Je le dis tout net, Stéphane François fait partie des chercheurs "nouvelle génération" que j'admire. Doté d'une puissance de travail peu commune, d'une érudition considérable et d'une authentique liberté intellectuelle, il alimente depuis quelques années la réflexion commune sur les droites radicales, les sub-cultures jeunes et l'ésotérisme.
Après un livre en 2012, aux éditions du Cerf, sur l'écologie politique et ses relations avec l'extrême-droite (lien),il nous propose cette fois-ci un essai percutant de 80 pages intitulé Le retour de Pan, Panthéisme, néo-paganisme et antichristianisme dans l'écologie radicale (ed. Arché Milano, 2016).