Les Français n'ont pas le monopole de la tension électorale avant l'échéance. En Egypte, le climat actuel, dans le contexte d'élections présidentielles qui approchent (voir l'album photo d'Avril 2012), est propice à la nervosité.
Alors qu'il y a deux semaines, la commission électorale a invalidé dix candidats, dont l'ancien vice-président Omar Souleimane et les islamistes Khairat al-Chater et Hazem Abou Ismaïl, les esprits s'échauffent... et on le perçoit un peu dans les rues du Caire, à l'image de ces sycomores du bord du Nil (cliquer ci-contre pour agrandir) aux racines torturées.