Mardi 24 décembre, après sept mois de détention à Téhéran, la chercheuse franco-iranienne Fariba Adelkhah, qui est accusée d’espionnage par la justice de la République islamique, a entamé une grève de la faim avec une de ses codétenues, l’universitaire australienne Kylie Moore-Gilbert.
Dans une lettre que les deux femmes ont pu faire parvenir de manière clandestine à l’extérieur de la prison où elles sont détenues et qui a été relayée par l’organisation Center for Human Rights In Iran ainsi que par des soutiens de Fariba Adelkhah à Paris, elles annoncent avoir cessé de s’alimenter « au nom de tous les universitaires et les chercheurs en Iran et au Moyen-Orient que l’on emprisonne injustement (…) pour avoir fait leur travail ».
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