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  • Une note sur William Seymour

    medium_images-4.2.jpgA noter cette semaine, dans l'excellent supplément "Les Essentiels" du magazine La Vie (du 21 au 27 septembre 2006), un article, auquel votre serviteur a largement participé, sur le pasteur afro-américain William Seymour (1870-1922). Seymour est à l'origine du fameux réveil d'Azuza Street (Los Angeles) qui a lancé, aux Etats-Unis, le mouvement pentecôtiste proprement dit.

    Le pentecôtisme, qu'on rattache habituellement au protestantisme évangélique (pour une définition, cliquer ici), a connu un développement foudroyant, qui l'a fait passer de zéro à plus de 200 millions de fidèles en à peine plus d'un siècle. William Seymour a joué un rôle clef dans le démarrage du phénomène. 100 ans après le réveil pentecôtiste multi-ethnique d'Azuza Street (1906), voilà l'occasion de se renseigner sur ce fils d'esclave entré aujourd'hui dans le panthéon des grands fondateurs.

     

    NB: à noter dans le même numéro de La Vie une enquête et un sondage éclairants sur l'islam en France, pour déboulonner quelques clichés. 

  • Quand Ingrid et Nathalie répondent à Benoît

    medium_images-3.3.jpgVu les réactions à ma note précédente (sur mon blog ET sur mon courriel), je voudrais préciser ici quelques points. D’abord un préalable: je persiste et signe, je ne laisserai jamais dire que l’islam se résume à une religion violente. On ne peut pas laisser passer cela, car c’est faux, et source d’intolérance active. Je crains qu'en France et ailleurs, certains supporters d’occasion de Benoît XVI se laissent entraîner par de tels sentiments, alors je dis STOP. Ce n’est pas juste. La grande majorité des musulmans, et des prêches musulmans, n’appellent pas à la violence, gare aux effets de loupe médiatique. Je ne dirai jamais non plus que l’islam se réduit à une religion de paix. Comme je l’ai indiqué, l’islam contient les deux, paix et violence, comme toutes les religions.

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  • La triple faute de Benoît XVI

    medium_images.12.jpgSuite au 11 septembre 2001, quand deux télévangélistes protestants fondamentalistes américains (Pat Robertson et Jerry Falwell) ont assimilé le prophète Mahomet à un terroriste ou un homme habité par le mal, tous les journalistes de France et de Navarre ont poussé des hauts cris, et à juste titre.

    On est loin des mêmes réactions aujourd’hui après les propos de Benoît XVI sur l’islam, tenus le 12 septembre dernier.

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