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Charles Gide et le mouvement coopératif

cropped-charles-gide-294x330.jpgDepuis la décolonisation jusqu’à la fin des années 1990, l’espace francophone a été marqué par l’impact de la coopération. Du Tchad à Madagascar, de la Tunisie au Sénégal, des milliers de «coopérants» francophones se sont investis, dans le cadre de la mise en place en France, en 1959, d’un Ministère de la coopération voulu par le Général de Gaulle. Etymologiquement, coopérer, c’est oeuvrer ensemble (co-operare, en latin). Parce qu’il évite la hiérarchie, le terme convient particulièrement dans des contextes d’émancipation. Le travail forcé, le rapport de force brutal laissent place à un effort solidaire, que ce soit dans le bilatéralisme institutionnel (coopération d’État) ou le cadre associatif local. Christianisme peu hiérarchique, sans pape, favorable au principe du sacerdoce universel des croyants, le protestantisme a nourri, plus souvent qu’à son tour, ces pensées de la coopération.

En son sein, l’économiste français Charles Gide (1847-1932) en constitue l’un des meilleurs avocats.

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