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Le travail, une grâce ? (Réforme)

offre-emploi.jpgA l'heure où les foules s'apprêtent à lever le pied pour le Réveillon de Noël, n'est-ce pas friser la provocation de s'interroger sur la grâce du..... travail? Tout le monde concèdera que le travail peut être un fardeau lourd à porter, une aliénation. Et que le repos, c'est bien!

Mais à l'heure où des millions de "demandeurs d'emploi" aspirent à trouver un job, il n'est pas inutile de rappeler que le travail peut AUSSI se vivre comme une bénédiction, un privilège.

Dans ce registre, la tradition protestante, avec son accent sur la dimension vocationnelle du travail, joue sa petite musique.... qu'on réentend de plus en plus en France, à quelques mois des Présidentielles 2017.

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Commentaires

  • C'est vrai, le protestantisme a une vision du travail qui le fait échapper à sa vocation de torture ("tripalium"). Mais nous devrions en revanche réexaminer la paternité que d'aucuns savants sociologues peu critiqués lui attribuent en termes de "naissance du capitalisme". Les attitudes opposées à toute idée de "capital" sont dans l'Evangile plus nombreuses. N'a-t-on pas confondu bonne gestion, rigueur, et honnêteté avec "appât du gain" (à la Trump?).
    La société laïque ne manque pas d' options en proximité avec cet abord, sans pour autant tomber dans la soumission à quelque collectivisme qui soit. L'expérience actuelle de "Zéro chômeurs de longue durée" (médiatisée), telle que, par exemple, le village de Jouques, près d'Aix en P., le met en œuvre apparaît, en sa simplicité efficace, comme une quasi application de cet esprit. Faire travailler tout un chacun sans concurrence mais en complémentarité et convergence. cela semble possible. Sécularisation du potentiel protestant? Au moins autant que le "capitalisme" sauvage en tout cas. Anche K6

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