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Atlas des esclavages: le livre pour commémorer utile

Atlas des esclavages.jpgA force d'accumuler les commémorations, l'oeil dans le rétroviseur, le risque est d'oublier d'aller de l'avant. Il est pourtant des commémorations utiles et motrices. Celle de l'abolition de l'esclavage, célébrée en France le 10 mai, l'est tout particulièrement, car le "travail de mémoire" est loin d'être achevé!

Pour "commémorer utile", lire et relire la nouvelle édition (tout juste sortie des presses) de l'Atlas des esclavages, publié par les éditions Autrement.

Signé Marcel Dorigny et Bernard Gainot (on aurait dû ajouter aussi sur la couverture le cartographe, Fabrice Le Goff!), c'est un "must" qui permet, entre autres, d'ouvrir les yeux sur un des plus terribles impensés de l'histoire des "civilisations" occidentale et arabomusulmane.

Commentaires

  • C'est très curieux mais il n'y a pas d'impensé, c'est une pure fiction que la gauche a réussi à distiller, je me rappelle de les profs coco rappelant que les bourgeois de Nantes et Bordeaux devaient leur richesse à l'esclavage
    Non, la gauche se fait déborder par son propre discours victimaire qui aboutit a des revendications communautaristes
    Entendre le président de la république devoir se justifier face aux revendication s d'un groupuscule comme le cran est hallucinant, supporter les propos de Mme Taubira sur la répartition du foncier est irritant, constater que notre République s'impose par une loi qui impose une pensée est troublant
    La gauche cherche des causes sociétales qui lui permettraient de jouer un rôle abolitionniste, elle est persuadée de cette mission morale et de sa supériorité d'où le mariage pour tous, demain l'adoption et aujourd'hui la réparation de l'esclavage.

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