Plusieurs personnes, venus en aide à des migrants, sont passées devant la justice. Comment ne pas s’indigner de ce délit de solidarité?, interroge le sociologue des religions Sébastien Fath.
En janvier 2016, Rob Lawrie, bénévole, a risqué cinq ans de prison, devant le tribunal de Boulogne-sur-Mer. Son tort ? Avoir voulu aider une Afghane âgée de 4 ans à passer en Angleterre. Une tentative de suicide plus tard, l’homme a été condamné à 1 000 euros d’amende. Un an après, Pierre-Alain Mannoni, du CNRS, comparaissait devant le tribunal de Nice, pour avoir aidé des Érythréennes...
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