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Scandales. Les défis de l'Eglise catholique

scandales-les-defis-de-leglise-catholique.jpgAlors que dans l'entre-deux tours des présidentielles 2017, les évêques catholiques de France se sont plutôt distingués par.... leur silence, refusant de faire barrage à l'extrême-droite xénophobe, il faut signaler le livre courageux, intelligent et documenté de Christian Delahaye sur les silences et radicalisations de l'Eglise catholique de France, confrontée à une crise sans précédent.

Qu'on partage ou non ses thèses, il faut reconnaître à ce livre important, publié aux éditions Empreinte, la vertu d'ouvrir un espace de parole sur des enjeux trop souvent "mis sous le tapis".

Recensé pour l'instant dans le Quotidien du médecin (lien), ce livre évoque notamment une dérive droitière et nostalgique d'un clergé rappelé à ses devoirs dans une tribune incisive publiée dans Le Monde, dans l'entre-deux tours des Présidentielles.

Christian Delahaye y pointe le manque de réaction des évêques catholiques face au néopaganisme nationaliste du Front National. Lien.

 

Commentaires

  • "le manque de réaction des évêques catholiques face au néopaganisme nationaliste du Front National"
    Certains font dans le néopaganisme nationaliste, d'autres dans le néopaganisme européiste.
    L'un comme l'autre sont des paganismes, à l'image de notre société qui est tout sauf chrétienne.

    Et quand la gauche (mais une certaine droite aussi) culpabilise les gens en leur assénant des valeurs qui se veulent républicaines mais sont en réalité du christianisme dévoyé, sans le Christ, je suis plus que méfiant.
    Que les donneurs de leçons balaient d'abord devant leur porte (la paille, la poutre...) et qu'ils cherchent les véritables causes du vote FN, mais cela les obligerait de se remettre en question.

    Je précise que je ne suis ni membre, ni sympathisant du FN. Par contre, je constate qu'en s'en prenant à ce parti, on oublie de pointer d'autres partis qui ne valent pas mieux.
    Et au risque de me répéter, ceux qui s'adonnent à des manifestations violentes comme on en connait ces dernières années en France et qui hurlent "mort aux juifs", tout comme ceux qui en assassinent en ce début du XXième siècle ne sont pas des séides d'extrême-droite.

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