C'est si rare d'assister à la naissance, aujourd'hui, d'une nouvelle revue académique papier de qualité !
Raison de plus pour saluer le magnifique premier numéro de la Revue Ecossaise, et lui souhaiter longue vie.
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C'est si rare d'assister à la naissance, aujourd'hui, d'une nouvelle revue académique papier de qualité !
Raison de plus pour saluer le magnifique premier numéro de la Revue Ecossaise, et lui souhaiter longue vie.
Les "territoires circulatoires" ne datent pas d'aujourd'hui, et ne fonctionnent pas seulement sur un axe Nord-Sud! Durant plusieurs siècles, l'Ecosse et la France ont mêlé leur destin, y compris sur le plan religieux: John Knox, le grand réformateur protestant écossais, a ainsi ramé sur les galères du Roi de France... tandis que plus tard, la loi de 1905, en France, va s'inspirer en partie de la Disruption écossaise de 1843.
Pour revenir sur ces dossiers, me voici quelques jours à Edimbourg, attachante capitale écossaise (quelques photos ici) où je travaille notamment à la New College Library, fabuleux réservoir de sources et de bibliographie.
Qu'on souscrive ou non à ses thèses, c'est une figure importante de la théologie protestante qui vient de nous quitter le mois dernier, en la personne de Marcella Althaus-Reid (1952-2009).
Professeure de théologie contextuelle à l'université de New College, Edimbourg, titulaire d'une thèse à l'université de Saint Andrews, elle largement contribué à développer le champ émergent de la théologie queer, qui questionne les frontières de genre. Son livre le plus lu est Indecent Theology (2002).