Il n'est pas trop tard pour signaler l'appel à communication de l'Association Française de Sciences Sociales des Religions (AFSR), consacré au très beau thème (sous-étudié) de l'athéisme et de la non-religion.
Les spécialistes de sciences sociales des religions se focalisent souvent sur leurs objets spécifiques, en oubliant d’interroger le phénomène de la non religion. Or, on ne peut comprendre les phénomènes religieux dans les sociétés contemporaines sans prendre en compte leur contestation (l’anti-religion) et les manifestations d’indifférence religieuse, malgré la difficulté à construire une science de l’irréligion – difficulté qu’il conviendra aussi d’analyser. Du fait de la perte d’influence sociale des religions instituées, du fait encore de l’individualisation des croyances et de la montée des incertitudes dans nombre de domaines, au premier rang desquels le domaine religieux, la non religion et la religion incertaine semblent notablement se développer.
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