Il y a quelques jours, nous évoquions le dossier de l'Eglise de Pentecôte de Besançon, finalement remonté jusqu'à la Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH), laquelle a condamné la France (voir note du 7 février 2013). Il était alors fait mention d'une interrogation quant à la poursuite de l'oeuvre après 2006.
Grâce au chercheur Laurent Amiotte-Suchet dont j'ai depuis relu des extraits de la thèse de doctorat, voici ci-dessous les éléments d'explication qui manquaient. Où il ressort que n'est pas le matraquage fiscal qui a eu raison de cette Eglise et son réseau, mais... le marivaudage du pasteur successeur, accusé d'adultères.