La liturgie des droits de l'homme a ses héros et ses images saintes. Mais il ne faut jamais oublier d'exercer son esprit critique. Le podium du 200m, aux Jeux Olympiques de 1968, est entré dans l'Histoire pour le fameux poing levé des deux champions noirs (John Carlos et Tommie Smith), dénonçant le racisme.
Quant au 3e homme, le coureur blanc, on n'y fait pas attention. Voire on le ramène à l'ordre raciste conservateur (d'autant qu'il ne lève pas le poing). Enorme erreur!