Elles sont chrétiennes, juives, musulmanes, bouddhistes, agnostiques ou athées. Les unes revendiquent leur attachement à une tradition spirituelle, les autres rejettent en bloc la religion jugée par essence phallocrate. Mais toutes se rejoignent sur un point : celui de bousculer, de l’intérieur ou de l’extérieur, les institutions dépositaires du dogme. Pour, in fine, libérer les femmes, trop souvent reléguées à l’arrière plan pour des motifs (prétendument) religieux.
Qui sont ces femmes? Quels sont leurs arguments? Dans quelle mesure ont-elles réussi à faire bouger les lignes ? Féminisme religieux et féminisme laïque sont-ils compatibles?
Tel est l'argumentaire stimulant du numéro d'été du Monde des Religions.
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