Au terme d'un séjour de deux semaines en Egypte (promis, à partir de demain, on parle d'autre chose!), et après quelques discussions fort éclairantes avec des Egyptiens de tout bord (qui parlent beaucoup plus ouvertement politique aujourd'hui qu'à l'époque Mubarak), un point m'a frappé: ce mélange d'excitation et de grande inquiétude, à l'heure des élections, face au problème d'un électorat "peu éduqué".