En sciences sociales des religions, le comparatisme est risqué, mais il n'est pas optionnel. C'est en comparant qu'on affine l'analyse et qu'on évite les erreurs de perspective.
Bien que n'étant pas un spécialiste de l'islam, c'est au titre de cette exigence comparatiste que je voudrais signaler brièvement le beau livre de Samir Amghar, sociologue et chercheur au CERIUM, Centre d'études et de recherches internationales de l'Université de Montréal (canada).