Le 15 juin dernier, la lisibilité du paysage protestant français s'est simplifiée avec la création d'une grande structure de rassemblement évangélique, le CNEF (cf. note précédente).
Cette simplification n'élimine pas tensions et interrogations, notamment entre une identité protestante plus marquée par le poids de l'héritage, et une identité protestante plus marquée par le poids de la conversion.
Dans ce contexte, il n'est pas anodin que le premier président du CNEF (élu à l'unanimité) soit un baptiste.
