Lu en ce début d'année sur Al Masri El Youm (grand journal indépendant égyptien): le parti Nour, représentant du salafisme égyptien, s'est abstenu d'adresser ses voeux aux autorités coptes (chrétiennes).
S'adresser mutuellement des voeux est pourtant une pratique intercommunautaire fondamentale, à laquelle souscrivent, par exemple, les Frères Musulmans.
De quoi s'interroger sur les revendications de modération des salafistes égyptiens (un quart du corps électoral), qui militent pour que l'identité islamique devienne constitutionnelle.