Jusqu’aux débuts de la IIIe République, la société française a réintégré le protestantisme selon des modalités différentes. Les Églises baptistes, qui commencent à s’implanter en France dans la décennie 1810, sont des nouvelles venues. Elles fonctionnent par conversion. Très prosélytes, elles se heurtent à un catholicisme en position largement dominante, qui accepte mal qu’une offre de salut concurrente se déploie dans les paroisses.
Cet article revient sur le « choc des différences » mis en lumière par l’évangélisation baptiste en direction des catholiques jusqu’au milieu des années 1870.
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