Les coupables de l'incendie perpétré contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, le 1er novembre 2011, n'ont pas encore été arrêtés.
Mais un faisceau de présomptions (menaces, piratage du site internet etc.) suggère que certains éléments musulmans fanatiques n'y seraient peut-être pas tout à fait étrangers, en raison de la provocation assumée du journal, qui représente, dans son édition courante, le prophète Mahomet (ce que la plupart des musulmans -pas tous- considèrent comme un sacrilège).
Face à ce méfait, une seule posture est possible pour les héritières et héritiers de 1789, la solidarité avec Charlie Hebdo et la défense sans condition de la liberté d'expression, blasphème compris!