Jean-François Collange (photo ci-contre) et Geoffroy Goetz m’ont fait l’honneur, dans les colonnes de l'hebdomadaire Réforme, de répondre à mon billet sur le rapport Machelon.
Je vous renvoie à leur texte, consultable sur le site du journal. Je ne reviendrai pas sur tout leur argumentaire.
Je m’arrêterai seulement sur quatre points: l’inconsistance du privilège financier des concordataires, qui ne bénéficieraient, dixit, que de «salaires plus que modestes», l’origine FPF du rapport, la nécessité de rénover la laïcité en s’appuyant sur d’autres exemples européens, et enfin, l’idée que la religion, au fond, c’est une forme de service public.

Non je ne parle pas de Jésus, ni de Zineddine Zidane venu l’an dernier assurer la qualif’ de l’équipe de France de football. Je parle de la fameuse histoire d’Arezki Belarbi, un enfant tombé dans le canal de la Marne-au-Rhin à Vendenheim (Alsace) le 20 avril 2006, et sauvé des eaux par un inconnu.