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"Figures féminines dans les religions" (La Croix)
Coup de chapeau à la belle série "Les figures féminines dans les religions" que le quotidien La Croix nous propose.Etalée en quinze enquêtes, elle présente, cette semaine, la pasteure française Emmanuelle Seyboldt.
Pasteure depuis 1994, Emmanuelle Seyboldt a été la première femme élue, en mai 2017, à la présidence du Conseil national de l’Église protestante unie de France (EPUdF). Série « Les figures féminines dans les religions » (9/15)
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Les évangéliques de la FPF (colloque)
Le protestantisme évangélique en France rassemble aujourd'hui, en métropole et outre-Mer, environ un million de personnes; décentralisé et pluriel, il a tissé de nombreux réseaux.On retrouve une partie d'entre-eux dans deux structures nationales: le Conseil National des Evangéliques de France (CNEF), qui rassemble exclusivement des évangéliques, et la Fédération Protestante de France (FPF), qui regroupe une large variété d'Eglises protestantes dont des évangéliques. C'est à ces derniers que se consacre un riche colloque FPF, tenu dans l'église protestante EPUDF de l'Etoile à Paris. Le programme, organisé le 30 novembre 2019, sera conclu par une conférence du Dr Denis Mukwege, Prix Nobel de la Paix 2018 et pentecôtiste.
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Discrimination religieuse dans les entreprises
La perception sociale dominante, en France, est souvent celle d'un religieux qui empiète sur les libertés des autres. Mais il existe aussi l'inverse: des croyants, qui se perçoivent comme discriminés parce croyant, notamment dans leur lieu de travail.Un baromètre de l'Institut Montaigne, dépouillé et commenté par l'hebdomadaire Réforme le 14 novembre dernier, fait le point.
La discrimination dont seraient victimes les croyants sur leur lieu de travail persiste, selon le baromètre 2019 de l’Institut Montaigne sur la “religion au travail”.
Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l’Observatoire du Fait religieux en entreprise de l’Institut d’administration des entreprises (IAE) de Brest est formel : il y a un avant et un après le Bataclan. "Le seuil de tolérance des minorités religieuses en entreprise a baissé depuis la vague d’attentats qui a ébranlé le pays", résume-t-il (lire la suite ici).
