En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La République du Congo (ou "Congo Brazzaville") est actuellement marquée par des troubles. Il faut dire que suite au référendum "à la soviétique" (cf. Valérie Thorin pour le DEFAP) qui a permis la modification constitutionnelle ouvrant la voie à la réélection de Denis Sassou-Nguesso (73 ans) en mars dernier, la population doute.
Marquée par des affrontements à Brazzaville et par un "serrage de vis" général, le contexte post-élection est notamment traité par France 24 ou La Croix, qui a évoqué récemment les bombardements du département du Pool et la réaction de l'évêque catholique Mgr Mbuyu.
Signalons que pour comprendre le contexte protestant, en particulier celui des Églises de Réveil au Congo Brazza, il existe l'excellente étude de Jean-Pierre Bat dans Afrique Contemporaine sur les "Nouveaux christianismes", et un résumé suggestif publié par Le Monde Afrique (lien).
En cette époque de starisation trop facile (téléréalité), une époque singulière où certains hommes politiques n'hésitent pas à se décerner eux-mêmes des brevets de vertu philanthropique, méditons cette phrase: «Le bien, c'est quelque chose que tu fais, pas quelque chose dont tu parles. Certaines médailles sont accrochées à ton âme, pas sur ton blouson»
L'auteur ? Le campionissimo Gino Bartali (1914-2000), ex double vainqueur du Tour de France et légende du cyclisme (ah, son Milan-San Remo 1950 raconté par Bobet!), possiblement en voie d'être honoré, à titre posthume, comme "Juste parmi les nations" par l'institut Yad Vashem (Israël).
De Beijing à Los Angeles, de Londres à Lagos, de Sydney à Rio de Janeiro, tout le monde parle «globish».
Késako?
Le globish, c’est le «global English», anglais basique parlé sur tous les continents, qui permet de franchir les barrières nationales.
Tout le monde ? Non, un petit village résiste encore et toujours…. Vous connaissez la rengaine. Sauf que dans la BD, Astérix et Obélix parlent couramment aux romains, ce qui veut dire…. Qu’ils parlaient le latin, le «globish» de l’époque!