24H après Jean d'Ormesson, voici Johnny Hallyday qui tire sa révérence.
Deux figures tutélaires, respectivement dans les domaines des lettres et de la chanson.
La disparition de la star aux 110 millions d'albums vendus et aux 1000 et 1 concerts géants (de Paris à Kinshasa) constitue un événement qui dépasse de loin la sphère du "people" ou des faits divers.
Qu'il soit idole ou icône (ce n'est pas la même chose, lien), Johnny Hallyday a cristallisé une telle ferveur que son itinéraire exceptionnel interroge les sciences sociales des religions ainsi que l'histoire et l'anthropologie culturelle de la France, de la Belgique, de la francophonie.

C'est une figure importante de la scène Gospel and Blues qui a tiré sa référence, le 23 mars dernier. Surnommée "la reine du Blues de la Nouvelle Orléans", Marva Wright laisse une oeuvre vocale marquée par les standards du Jazz, du Gospel, mais surtout par une interprétation poussée et personnelle du Blues.