Le monde protestant évangélique a perdu une de ses figures phares, avec la disparition du prédicateur latino Luis Palau, qui a tiré sa révérence le 11 mars à l'âge de 86 ans.
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Le monde protestant évangélique a perdu une de ses figures phares, avec la disparition du prédicateur latino Luis Palau, qui a tiré sa révérence le 11 mars à l'âge de 86 ans.
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Actuellement au Brésil (JMJ), terre où l'explosion évangélique a bouleversé les équilibres confessionnels (+16 millions de protestants évangéliques entre 2000 et 2010 selon le recensement), n'oublions pas que le pape François est... argentin.
Or, l'Argentine a longtemps été peu, très peu marquée par l'évangélisme, au contraire de son grand voisin brésilien. Mais est-ce toujours vrai?
Histoire de varier un peu les angles, et de sortir du énième reportage sur le Brésil, voici rien que pour vous un petit survol de l'évangélisme... en Argentine, terre du pape François.
"Vamos!" Alors qu'un milliard et deux-cent millions de catholiques s'exhortent à aller de l'avant sous la houlette de leur nouveau pape François, beaucoup s'interrogent face au défi évangélique.
Depuis trois siècles, les protestants de tendance "évangélique" ne cessent d'élargir leur assise. Axés sur sur la conversion, des communautés locales autogérées et une piété biblique prosélyte, ils représentent désormais environ 565 millions de chrétiens et rallient à eux chaque année des centaines de milliers d'anciens catholiques.
Hier soir (2 juillet 2001) s'est achevée un festival Gospel de trois jours dans la cité phocéenne, avec comme invité d'honneur le grand évangéliste latino Luis Palau, concluant un cycle de près de quatre mois amorcé en mars, et intitulé "Une saison pour servir".
L'observateur du protestantisme ne manquera pas de noter qu'il s'agit de la première opération d'une telle visibilité et d'une telle durée à Marseille (et alentours) où les protestants évangéliques, ostensiblement unis (en dépit de quelques grands absents), apparaissent comme moteurs.