Je sais, je sais, «on» va m’en vouloir de critiquer ainsi l’Agence Nationale de la Recherche, nouveau juge de paix en matière de financement des gros projets scientifiques.
Mais si j’ai choisi de faire de la recherche, c’est en large partie pour des raisons de liberté intellectuelle auxquelles je tiens.
Or, l’ANR, qui a recalé au début de cet été le projet Dieu Change à Paris, projet sur lequel j’ai investi deux ans de travail, ne m’inspire pas confiance.