C'est un livre qui se prête bien aux Cassandres et aux Cincinnatus, qui gémiront une fois de plus, "O Tempora, O Mores", et voueront aux gémonies le protestantisme comme précurseur de Nabila, de la Téléréalité et du narcissisme sauce Facebook. Le magazine Causeur, cette fois-ci, est tombé dans ce travers.... d'autres aussi.
Le propos de Mark Alizart, dans un essai stimulant intitulé Pop Theologie (PUF, 2015) est pourtant bien plus subtil.
Il voit dans le protestantisme, et particulièrement les mouvements évangéliques de Réveil, une matrice forte de la culture du choix, de l'émulation créative et de l'émancipation du moi.
Il s'est notamment exprimé dernièrement sur France Culture (lien), dans les Inrockuptibles (lien).
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