A l'heure où se pose la question du positionnement des religions face aux mutations du système-monde sous l'effet de la Pandémie Covid19, les débats sur les "théologies de la prospérité" sont remis à l'honneur.
Souvent mise au singulier, faute de compréhension différenciée, "la" (sic) théologie de la prospérité révèle en fait une large gamme d'offres chrétiennes postcoloniales.
Pour y réfléchir, signalons les travaux remarquables de Géraldine Mossière, notamment cette recherche publiée en 2013 sur les réseaux congolais évangéliques entre Canada et Afrique de l'Ouest, avec l'enjeu d'une "théologie du développement".
Anthropologue et professeure à l’Institut d’études religieuses de l’Université de Montréal, Géraldine Mossière est, au cours de l’année académique 2019-2020, titulaire de la chaire EHESS-IMéRA en études transrégionales.
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Le catholicisme français a changé, comme l'illustrent le parcours et les écrits de
A noter ce passionnant dossier thématique sur la religion en Iran, de la revue des Archives de Sciences Sociales des Religions, coordonné par Sabrina Mervin et Sepideh Parsapajouh, avec notamment un article de Stéphane Dudoignon, chercheur statutaire au laboratoire GSRL , sur "L'orthodoxie comme contreculture".
