Le champ de la lutte contre les sectes est vaste: mais il ne demande qu’à s’élargir encore!
Notre société y pourvoit.
Même un magazine comme Voici presse la sonnette d’alarme dans le numéro de cette semaine.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le champ de la lutte contre les sectes est vaste: mais il ne demande qu’à s’élargir encore!
Notre société y pourvoit.
Même un magazine comme Voici presse la sonnette d’alarme dans le numéro de cette semaine.
Carla Bruni-Sarkozy a publié avant-hier une tribune justifiée.
Intitulée "Halte à la calomnie!", elle met un mot final à l'affaire du SMS que son mari aurait soit-disant envoyé à son ex-femme une semaine avant son remariage.
Je considère, et de longue date, Technikart comme le meilleur mensuel culturel non-conformiste français. J'ai bien dit, "non-conformiste".
Car des mensuels culturels de qualité, il y en a beaucoup, mais ils campent pour la plupart sur le créneau bobo faussement décalé et furieusement 'pensée unique' branchée.
Même d'excellents périodiques comme Télérama ou les Inrockuptibles n'y échappent pas. Technikart, si.
De Beijing à Los Angeles, de Londres à Lagos, de Sydney à Rio de Janeiro, tout le monde parle «globish».
Késako?
Le globish, c’est le «global English», anglais basique parlé sur tous les continents, qui permet de franchir les barrières nationales.
Tout le monde ? Non, un petit village résiste encore et toujours…. Vous connaissez la rengaine. Sauf que dans la BD, Astérix et Obélix parlent couramment aux romains, ce qui veut dire…. Qu’ils parlaient le latin, le «globish» de l’époque!
En France, une presse spécialisée du type Monde des religions ne tarit pas d'efforts pour mieux faire connaître la réalité religieuse contemporaine.
Mais cet effort est peu, et souvent mal, relayé par la presse généraliste, non ciblée sur le religieux. On doit se contenter d'approximations, voire d'erreurs confortables, sans souci d'approfondir et d'aller au-delà des clichés qui circulent.
Le hasard, en ce mois de septembre, s'habillerait-t-il en robe de pasteur protestant?
Voilà en effet deux revues à grand tirage, Historia Thématique (tout le numéro) et Le Monde des religions (un dossier de six pages) qui ont décidé, au même moment, de se pencher sur l'histoire et les mutations actuelles du protestantisme.
A ne pas rater!
Il ne vous aura pas échappé que l’équipe de football de Nancy (l’A-S Nancy Lorraine) brille actuellement de mille feux en championnat de France de Ligue 1.
Même s’il est peu probable que ce statut de leader se prolonge indéfiniment, voici quelques éclairages sur cette aventure, de la part d’un ex-Nancéen (j’ai vécu 28 ans dans la capitale lorraine) resté toujours fidèle à l’ASNL.
Ceux qui ont lu ma thèse, publiée il y a six ans, connaissent l'illustration de couverture, qui représente un baptême par immersion dans le temple de la rue de Lille (toujours actif aujourd'hui).
Elle était tirée de la page 5 de La Presse Illustrée, en 1876, magazine d'information générale. Je l'avais photocopiée à partir d'un original conservé sous verre, à l'époque, rue de Lille. Mais je m'étais toujours demandé quel était le texte qui accompagnait cette illustration.
Le Superbowl, finale du football américain, s’est conclu à Miami le 4 février 2007 par la victoire des Indianapolis Colts contre les Chicago Bears (par 29 à 17). C’est l’événement sportif numéro un aux Etats-Unis. Cette année, pas de «nipplegate» comme en 2004, où le sein découvert de Janet Jackson avait déclenché le scandale. En revanche, une autre figure afro-américaine fut à l’honneur, en l’occurrence, le légendaire entraîneur des Colts, Tony Dungy (photo), qui a témoigné urbi et orbi d’une foi protestante évangélique à toute épreuve.
Quelques semaines après les élections qui ont fait basculer le Congrès états-unien du côté des Démocrates, une question revient: qu’en est-il du fameux clivage entre une Amérique religieuse (qui vote plutôt républicain) et une Amérique sécularisée (qui vote plutôt démocrate)?
Beaucoup estiment que ce clivage, ce God gap, comme on l’écrit outre-Atlantique, aurait tendance à se résorber. Les efforts d'Hilary Clinton et quelques collègues pour se rapprocher de l'électorat religieux pratiquant auraient-ils porté leurs fruits?
Ceux qui me connaissent bien savent que je suis un vieux mordu de cyclisme. Moins névrosé sur le sujet qu’à l’époque de mes vingt ans, je continue néanmoins à souscrire à un rite immuable : à la fin de chaque mois de juillet, je m’achète une revue qui retrace par le menu le Tour de France de l’année.
Cette fois-ci, j’ai dû me forcer. En achetant le Vélo magazine n° 433 d’août 2006, j’ai presqu’eu l’impression de faire l’aumône, pour renflouer un numéro voué au bide complet. Il faut dire que jamais un titre de magazine cycliste n’aura été aussi lamentablement raté. Montrant un Floyd Landis radieux et à son avantage, Vélo Magazine titre «Le tour à visage humain de Floyd Landis». Les hormones de synthèse décelées dans les urines (échantillons A et B) de Floyd Landis ont-elle visage humain?
J’aime les brocantes picardes. Un des invariants rencontrés, c’est la vente au kilo de livres religieux (missels, catéchismes etc.). Les «vieux» ont lu ça dans le temps, les jeunes, aujourd’hui, s’en débarrassent. Et si, aux États-Unis, c’était l’inverse ? Une récente enquête sur l’usage des médias chrétiens, publiée le 27 juin 2006, semble l’indiquer, en tout cas en ce qui concerne les milieux évangéliques.
L'équipe de France, enfin qualifiée, poursuivra-t-elle son ascension vers les sommets ? Après la victoire des Bleus contre le Togo, les paris sont ouverts. Une quasi-certitude, toute équipe qui ira loin dans ce Mondial de foot 2006 risque de rencontrer sur sa route le Brésil, archi-favori. Dans L’Equipe de lundi dernier (19 juin), un de ses joueurs phares s’est exprimé sur une pleine page (p.11). Il s’agit de Ricardo Izecson dos Santos Leite, surnommé Kaka (le surnom passe mieux en portugais qu’en français). Ce qui a attiré mon attention, c’est que ce joueur exprime, dans son interview, une foi religieuse intense. Titre : « J’ai gardé mes valeurs ».
Depuis trente ans, on n’entend plus qu’eux, ou presque. Quand on pense aux rapports politique-religion aux Etats-Unis, la nouvelle droite chrétienne paraît omniprésente. Depuis que les télévangélistes Jerry Falwell et Pat Robertson ont mobilisé leurs troupes à la fin des années 1970, les chrétiens actifs qui ne partagent pas l’agenda conservateur des apôtres de la soi-disant «majorité morale» semblent réduits au silence, ou à l’impuissance. La tendance est-elle en train de changer ?
Non je ne parle pas de Jésus, ni de Zineddine Zidane venu l’an dernier assurer la qualif’ de l’équipe de France de football. Je parle de la fameuse histoire d’Arezki Belarbi, un enfant tombé dans le canal de la Marne-au-Rhin à Vendenheim (Alsace) le 20 avril 2006, et sauvé des eaux par un inconnu.
Le père de l’enfant, Ali Belarbi, avait qualifié ce mystérieux sauveteur de «véritable ange» (dépêche AFP du 22 avril 2006, 17H32). Les télévisions s’étaient émues de cette affaire : au lieu de se signaler, le sauveteur avait préféré conserver l’anonymat. Qui était ce sauveur masqué? On connaît aujourd’hui la réponse: il était pentecôtiste.
Mesdames, acceptez mes excuses. J’ai longtemps jugé les magazines féminins avec condescendance. Lorsque j’étais étudiant à Nancy, puis à Paris, je me demandais comment ce bavardage assaisonné de publicité et de lieux communs pouvait fidéliser autant de lectrices. J’avais tort.