Le saviez-vous?
Dans le village de Ntumbaw, province du Nord-Ouest Cameroun, des anciens estimaient que l'épidémie du HIV (SIDA) était transmise par des femmes Fulani aux hommes non-Fulani qui avaient des relations sexuelles avec elles. Face à la pandémie du SIDA en Afrique, les religions, et notamment les Eglises africaines, ont développé de multiples stratégies discursives.
Elles ont été étudiées sous l'angle théologique, mais avec des éclairages en sciences sociales, dans un ouvrage d'Elias Bongma aux éditions Baylor University Press (2007).
Si elle avait été catholique, la Camerounaise Lydia Mengwelune serait une candidate de premier plan à la canonisation.
Si le Cameroun affiche un bilinguisme officiel et s’insère dans de multiples réseaux diplomatiques multilatéraux – dont le Commonwealth des Nations et l’Organisation internationale de la francophonie – il est souvent singulièrement absent des grandes études consacrées aux relations internationales africaines, où dominent souvent le Nigeria, l’Afrique du Sud ou le Sénégal. Pourtant, le Cameroun, dans la multiplicité de ses acteurs, gouvernementaux et non-gouvernementaux, et comme espace diplomatique, offre des perspectives importantes sur les enjeux, possibilités et limites d’une transformation des conceptions et pratiques diplomatiques au XXIe siècle.






A tout seigneur tout honneur, au terme d'un survol, ces derniers jours, de la superbe série "nouveaux christianismes" publiée par Le Monde Afrique (grand média tout public), en partenariat avec 




Au temple du Saint Esprit s'est tenu hier 


