Il n'existe pas de "savoir pur", exempt de croyance. Dès lors, le pédagogue peut-il se permettre de "faire comme si" la croyance était quantité négligeable?
Comme si "tout un univers de valeurs et de croyances" était simplement neutralisé, "indifférencié, et finalement soustrait à la réflexion commune" (p.29)?
La réponse est non. Pour en savoir plus, et mesurer le défi pédagogique face à la "pensée captive" (Desanti), on lira avec profit Gérard Fath, Laïcité et pédagogie, Paris, L’Harmattan, 2009 (216p), qui prolonge La table brisée (2006).
En voici une fiche de lecture. Télécharger.