Superbe séance aujourd'hui au séminaire interne du GSRL sur l'ouvrage Les minorités religieuses en France, présenté par Anne-Laure Zwilling et Joëlle Allouche-Benayoun. Un grand merci à elles!
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"Les minorités religieuses", présentation au séminaire interne GSRL
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Evangélisation et prosélytisme (Réforme)
Evangélisation? Prosélytisme? Sociologiquement, l'évangélisation, c'est le prosélytisme en cadre chrétien, tout comme l'islamisation est le prosélytisme en cadre musulman. Le terme de "prosélytisme", en soi, n'est donc pas péjoratif.
Mais dans le langage courant, il est devenu de plus en plus habituel d'opposer évangélisation (supposée respecter la liberté des autres) et prosélytisme (qui serait fondé sur la pression). Autour de ce débat, à noter un très bon numéro de l'hebdomadaire protestant Réforme, dossier consacré à "la frontière fragile" entre évangélisation et prosélytisme.
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La sécularisation en question: ouvrage exceptionnel (20 ans du GSRL)
Depuis 1995, le laboratoire Groupe Sociétés Religions Laïcités (CNRS / EPHE-PSL) n'a cessé d'étudier les religions et les laïcités, contribuant au fil des années à enrichir nos connaissances grâce à l'aide des sciences sociales.
A l'occasion de ses 20 ans, un grand colloque international avait permis de faire le point sur ces questions.
Sous la direction de Jean Baubérot, Jean-Paul Willaime et Philippe Portier, anciens directeurs du GSRL, un ouvrage somptueux publié en décembre 2019 aux éditions Classiques Garnier nous restitue aujourd'hui le fruit de ces réflexions.
En 746 pages, 47 contributions et 54 auteurs nous font découvrir un panorama exceptionnel, croisant disciplines, terrains, méthodologies, aires culturelles au service d'une seule exigence: analyser et faire comprendre les "religions et laïcités au prisme des sciences sociales".Un "must"!
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Ne pas manquer: table ronde exceptionnelle le 23 janvier 2020 (GSRL)
Pour celles et ceux qui peuvent s'y rendre, il n'y a pas à hésiter !
Une table ronde exceptionnelle nous attend le 23 janvier 2020 à 15H au Campus Condorcet, à l'invitation du GSRL (cliquer ci-dessous), autour d'un volume somptueux réalisé à l'occasion des 20 ans du laboratoire, sous la direction de Jean Baubérot, Jean-Paul Willaime et Philippe Portier.
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Discrimination religieuse dans les entreprises
La perception sociale dominante, en France, est souvent celle d'un religieux qui empiète sur les libertés des autres. Mais il existe aussi l'inverse: des croyants, qui se perçoivent comme discriminés parce croyant, notamment dans leur lieu de travail.
Un baromètre de l'Institut Montaigne, dépouillé et commenté par l'hebdomadaire Réforme le 14 novembre dernier, fait le point.
La discrimination dont seraient victimes les croyants sur leur lieu de travail persiste, selon le baromètre 2019 de l’Institut Montaigne sur la “religion au travail”.
Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l’Observatoire du Fait religieux en entreprise de l’Institut d’administration des entreprises (IAE) de Brest est formel : il y a un avant et un après le Bataclan. "Le seuil de tolérance des minorités religieuses en entreprise a baissé depuis la vague d’attentats qui a ébranlé le pays", résume-t-il (lire la suite ici).
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Peut-on parler des religions à l'école ?
En 2002, le rapport Debray affirmait l’importance de reconnaître et d’enseigner le fait religieux. Pourtant, plus de quinze ans après, alors que la question a resurgi avec les attentats de 2015, le sujet revient à échéance régulière dans les discours politiques et l’on s’affronte encore sur les manières de s’y prendre ou sur le risque d’une atteinte à la laïcité.
Au-delà de la chronique du débat sur l’enseignement des faits religieux, le bel ouvrage d'Isabelle Saint-Martin (directrice d'études à l'EPHE) propose une lecture distanciée des résistances et des difficultés mais aussi des avancées réalisées au fil des réformes successives des programmes.
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Techniques pour croire
Entre mise en scène et performance, le dossier « Des techniques pour croire » explore le postulat selon lequel croire et faire croire sont d’abord des opérations matérielles, physiques, indissociables de dispositifs techniques dont l'efficacité n'est pas donnée a priori mais dépend du contexte de leur interprétation, de leurs usages et de leurs éventuelles réappropriations. Ces dispositifs sont ici analysés à la rencontre entre l’anthropologie, les Science and Technology Studies et l’histoire religieuse.
Un nouveau beau numéro des Archives de Sciences Sociales des Religions (ASSR). Lien.
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Croisades et inquisition à l'ère du Numérique (colloque)
Colloque annuel dans le cadre de la troisième année de l'Observatoire international du religieux du CERI et du Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (GSRL) du CNRS et de l’École pratique des hautes études (EPHE), avec le soutien de la Direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS).
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Nathalie Luca filme Haïti: voir et en débattre au GSRL
L'annonce a déjà été faite sur ce blog en juin dernier.... Je me permets de la reproduire à la veille de la date: un remarquable film documentaire de Nathalie Luca (directrice du CESOR) sera montré et expliqué demain jeudi 17 octobre 2019 au séminaire interne du GSRL au Campus Condorcet. Nathalie Luca viendra exposer ses défis méthodologiques, ses découvertes et ses questionnements de chercheuse en sciences sociales à partir du terrain haïtien.
Une perspective très stimulante qui permettra de croiser réflexions sur religion, ONGs, recompositions des sociétés civiles postcoloniales.
Lien.
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L'Afrique noire en vitrines
À Lyon, à la fin du XIXe siècle, un dispositif institutionnel destiné à faire connaître les colonies est créé ; il suscite la constitution des premières collections africaines. Durant un siècle, les musées, missionnaires ou non, vont utiliser les objets pour nourrir leur propagande et affirmer leur rôle dans l’expansion de la France d’outre-mer. Les objets africains servent selon le cas de témoins du développement humain (salle d’anthropologie), d’indicateurs du savoir technique des populations (musées coloniaux), d’illustrations du paganisme (musées missionnaires) ou d’objets à valeur spéculative. Les expositions et les musées témoignent de cette histoire. S’ils ont contribué à ancrer stéréotypes et clichés, ils révèlent aussi l’évolution des regards au gré des intérêts ou des expériences.
Un très bel ouvrage signé Laurick Zerbini est maîtresse de conférences en histoire des arts d’Afrique subsaharienne à l’Université Lyon 2. Elle est membre du LARHRA (CNRS), Axes Religions et croyances.
Lien.
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Retour sur l'itinéraire intellectuel de Jean-Paul Willaime
On ne présente plus Jean-Paul Willaime, chercheur toujours prolifique, qui fut notamment directeur d'études à la section des sciences religieuses de l'EPHE et directeur du laboratoire GSRL. Bien plus qu'être un spécialiste de la sociologie des protestantismes, c'est un intellectuel exigeant, qui nous aide beaucoup à éclairer, par les sciences sociales, les débats de sociétés autour des religions et des laïcités en France et en Europe.
L'ouvrage d'entretiens qu'il a signé avec Martin Meunier est un livre majeur pour comprendre à la fois son itinéraire intellectuel, et le vaste champ analytique qu'il a ouvert et/ou nourri à la croisée de la sécularisation, de la religion et de la société. Merci à Jean Hassenforder de nous en proposer une synthèse riche et pédagogique, sur le portail www.témoins.com.
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Religion et politique (Barcelone 2019 SISR)
La dernière conférence de la SISR sur «Religion et politique» a été organisée à Venise en 1979. Il est temps de revisiter ce thème, 40 ans plus tard. La religion et la spiritualité sont intimement liées à la politique aux niveaux micro, méso et macro, et leur connexion peut varier fortement, à la fois géographiquement et au fil du temps. Les thèmes pouvant être abordés sont nombreux et ils sont au cœur de la sociologie de la religion: religion et relations internationales, revendications identitaires et souveraineté des États-nations, débats sur les droits sexuels et reproductifs, partis anti-islamiques et nouvelles exigences de la laïcité, rôle des valeurs et influences religieuses dans la politique, conflits motivés par la religion, l'extrémisme religieux, la religion et la crise des réfugiés.
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Nou se wozo (Haiti), un film de Nathalie Luca
En Haïti, l’État est faible, instable. Les Organisations Non Gouvernementales internationales, riches et puissantes, donnent l’impression de gouverner à sa place au mépris des initiatives locales. Les désastres naturels, parce qu’ils nécessitent dans l’urgence l’intervention de l’aide extérieure, amplifient encore cette situation. Après le passage de l’ouragan Matthew qui a ravagé le sud du pays en 2016, la colère des Haïtiens contre la toute-puissance des ONG est montée d’un cran. Ils veulent être considérés comme des acteurs de leur société et non pas comme des victimes. (...)
Un film documentaire passionnant de Nathalie Luca (directrice du CESOR), déjà présenté à l'EHESS, sera montré et expliqué au séminaire interne d'octobre 2019 au GSRL. Nathalie Luca viendra exposer ses défis méthodologiques, ses découvertes et ses questionnements de chercheuse en sciences sociales à partir du terrain haïtien.
Une perspective très réjouissante qui permettra de croiser réflexions sur religion, ONGs, recompositions des sociétés civiles postcoloniales. Lien.
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Convictions religieuses et ajustement à la norme
“Si le croyant ne peut s’affranchir de la règle commune au nom de sa liberté de religion, la reconnaissance pleine et entière de celle-ci conduit dans certaines situations à des ajustements de la règle de droit. Ce dossier présente les mécanismes susceptibles d’être mis en œuvre pour résoudre les tensions entre plusieurs droits fondamentaux, droit à l’égalité, non-discrimination et liberté de religion, afin de concilier impératif juridique et impératif religieux. Les varia questionnent également les relations entre droit et religion à propos des symboles religieux en Italie, de la situation des cultes au Brésil ou de la laïcité comme principe partagé par tous les États de droit.”
Un numéro passionnant, avec en particulier un article de Valentine Zuber (lien).
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David Martin (1929-2019)
C'est un sociologue des religions de stature internationale qui nous a quittés.
Le professeur britannique David Martin était aussi un fin connaisseur des protestantismes, un théoricien critique de la sécularisation, et l'ami de plusieurs collègues francophones qui ont bénéficié de la richesse de ses réflexions.
Lire ci-dessous l'hommage rendu par la SISR, dont il a été président (en anglais)
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La guerre des dieux n'aura pas lieu
Voici un ouvrage majeur et un panorama unique sur l'itinéraire de Jean-Paul Willaime, sociologue des religions, longtemps directeur d'études à l'EPHE en "Histoire et sociologie des protestantismes" et ancien directeur du laboratoire GSRL.
Edité par les éditions Labor et Fides sous la forme d'entretiens avec E-Martin Meunier, préfacé par Philippe Portier, ce livre de référence s'intitule "La guerre des dieux n'aura pas lieu".
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L'événement imprévisible
Lorsqu’un événement survient dans le quotidien de l’histoire, il bouscule l’ordre des choses. Pendant un temps, le monde semble vaciller. La société fait face à une possible rupture, puis finit par trouver un nouvel équilibre.
Confrontés à l’événement, les historiens, sociologues et anthropologues tentent d’en percer les secrets. Ils fouillent dans son passé pour découvrir les raisons de son surgissement ou analysent les conséquences du bouleversement qu’il a généré.
Lire la suite et découvrir ici ce livre, codirigé par Laurent Amiotte-Suchet (GSRL).
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Réflexion critique sur le concept de diaspora religieuse africaine
Besoin d'une réflexion théorique sur le concept de diaspora religieuse ?
Le but de cet article est d'analyser comment le concept de religion et / ou de spiritualité de la diaspora chrétienne africaine, en tant que modèle missionnaire, est actuellement utilisé et défini dans la recherche transnationale africaine et la religion de la diaspora. L'auteur a effectué une revue à l'aide d'une stratégie de recherche de citations afin de récupérer des articles évalués par des pairs qui explorent dans quelle mesure le document fondateur de Steven Vertovec sur «La religion de la diaspora» a éclairé la conceptualisation et l'analyse du concept de religion et / ou de spiritualité de la diaspora chrétienne africaine (ACDRS).
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Identités religieuses et monde commun (A-S. Lamine)
Le religieux est-il un risque pour l'intégration sociale? Croire est-il un engagement qui ne laisse pas de place au doute? Le religieux est-il un phénomène social comme un autre?
Pour cerner les relations entre identités religieuses et monde commun, cet ouvrage s'appuie sur des enquêtes portant sur des croyants de diverses religions. Il en propose sur une analyse pragmatiste, inspirée du philosophe social et politique John Dewey. Cette approche prend en compte le rôle des émotions et des attachements dans la croyance et dans ses perceptions. L'ouvrage ouvre aussi des perspectives sur le passage à la radicalisation du Croire.
Un livre très éclairant signé Anne-Sophie Lamine, professeure de sociologie à l'Université de Strasbourg.
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Christianisme orthodoxe & économie (sud-est européen, ASSR)
Au cours de ces dernières années, la crise économique qui a secoué en priorité l’Europe du Sud, réputée majoritairement orthodoxe ou catholique, a remis à l’ordre du jour la question jadis posée par Max Weber du rapport entre les appartenances religieuses et « l’esprit du capitalisme ».
Certains observateurs ont aussi vu dans le mode procédural de construction de l’Union européenne l’action d’une Europe du Nord d’inspiration protestante, à laquelle ces sociétés du sud peineraient à se plier. Il n’appartient pas à une revue comme les Archives de se positionner dans ce type de débat, bien souvent réducteur. La question du rapport entre orthodoxie et économie mérite néanmoins d’être posée, y compris à l’aune de la crise présente, dans la manière dont elle constitue le fait religieux en observatoire des mutations contemporaines des sociétés de l’Europe méditerranéenne d’une part, du questionnement de la relation entre Église et État à l’épreuve de la sécularisation d’autre part.C’est l’objet de ce dossier proposé par le n°185 des Archives de Sciences Sociales des Religions (janvier-mars 2019).
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Fantastique et religion, résumé du séminaire interne GSRL
Le 14 février dernier, le laboratoire GSRL s'est réuni en séminaire interne avec Nicolas Meylan (médiéviste, Université de Lausanne), autour du thème: «Classifier les religions, classifier le monde. Le cas du Game of Throne de George Martin». Son exposé a été suivi par celui de Renaud Rochette (responsable formation/recherche, EPHE-IESR), sur le thème: «Étudier le religieux fictif : approches et problèmes».
Nicolas Meylan a ouvert le ban en rappelant l’impact social colossal de la série Game of Throne (60 millions de volumes vendus pour le moment). S’appuyant surtout sur les livres parus, il a pointé les références historiques de l’auteur, George Martin, et a souligné l’ampleur des interprétations possibles. Il a notamment mentionné l’ouvrage Le trône de fer ou le pouvoir de sang de Stéphane Rolet (Presses Universitaires François Rabelais, 2014).
Lire la suite ici (résumé du séminaire interne GSRL)
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Tomi Ungerer et ses cathédrales
Alors que le génialissime Tomi Ungerer, illustrateur alsacien globe-trotter et anticonformiste, vient de tirer sa révérence, rappelons que l'oeuvre de cet auteur multicartes abusivement classé "pour enfants" a souvent croisé la spiritualité et l'éthique, en se défiant toujours de l'angélisme et des convenances.
Natif de Strasbourg, le créateur du Géant de Zéralda et des Trois brigands a notamment commis un Mes cathédrales, en 2017 (lien).
Le saviez-vous?
Il est le descendant, du côté paternel, d’une dynastie d’horlogers ayant eu pour mission, pendant trois générations, de réparer et d’entretenir l’horloge astronomique de la cathédrale de Strasbourg (lien).
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A la découverte des "passeurs d'âmes": Alfonsina Bellio
Le passage du religieux au spirituel est-il la marque de ce XXIe siècle? La religion, avec ses corpus dogmatiques et ses clergés, céderait du terrain devant des pratiques spirituelles moins régulées, réputées plus “libres”. L’anthropologie religieuse de l’Europe semble attester d’une soif de spiritualité “hors pistes” (cf. Yves Lambert). Mais on manque de postes d’observation pour évaluer ces dynamiques.
Grâce à Alfonsina Bellio, docteure associée du GSRL, on en découvre davantage sur une forme méconnue de recomposition des spiritualités européennes contemporaines : les passeurs d’âmes. Lien.
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EUREL, un très bel outil d'information sur les religions en Europe
Connaissez-vous EUREL ? Ce très bel outil d’information fournit gratuitement des données vérifiées et actualisées sur l’état sociologique et juridique de la religion en Europe, dans une perspective interdisciplinaire. Ce site s’adresse à la communauté scientifique internationale, ainsi qu’aux pouvoirs publics et acteurs politiques, et rassemble des informations, mises en perspective, concernant l’Europe élargie (Etats membres de l’Union européenne, pays candidats et autres pays européens). Une rubrique particulière est dédiée à l’Europe dans son ensemble, à la fois dans sa dimension institutionnelle (la prise en compte des confessions religieuses par l’Union européenne, le Conseil de l’Europe…) et dans une perspective comparative (traitement d’une même question par les différents pays européens).
Le projet EUREL est porté par l’unité mixte de recherche DRES - Droit, religion, entreprise et société du CNRS et de l’Université de Strasbourg et le GSRL - Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (CNRS / EPHE)
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GSRL: journée d'accueil des nouveaux doctorants
Pour les nombreux doctorants en sciences sociales des religions qui bénéficient du rattachement au laboratoire GSRL (CNRS/EPHE.PSL), à noter cette journée d'accueil prévue pour eux le jeudi 24 janvier 2019.
La rencontre, avec visite guidée du laboratoire, aura lieu dans les locaux du GSRL à Ivry sur-Seine.
Pour en savoir plus, cliquer ici (lien).
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ASSR n°184: retour sur le parcours de Jean-Paul Willaime
Dans le dernier numéro 2018 de a revue Archives de Sciences Sociales des Religions (ASSR), le Bulletin Bibliographique, formidablement fourni, se consacre à l'exploration des recherches en cours.
On consultera aussi avec plaisir les notes critiques, la lecture croisée du livre que Philippe Portier a consacré à L'Etat et les religions en France, la rubrique "L'atelier des sciences sociales du religieux" (Pierre Lassave), et une passionnante synthèse réflexive de Jean-Paul Willaime intitulée "Sociologie des protestantismes, cadres institutionnels et trajectoire individuelle" (p.25 à 51).
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Nouvelle rubrique GSRL "Un chercheur à la une"
Un mouvement hétéroclite de mécontentements, aux convictions parfois antagoniques, traverse aujourd’hui les sociétés civiles européennes. Il suscite l’interrogation. En France, la contestation des “Gilets jaunes”, sa critique des institutions représentatives, engendrent quelquefois dans leur sillage une phraséologie inquiétante, allant jusqu’à faire siens mots d’ordre et slogans d’un passé pas si lointain. Historien du XXe siècle, Jean Laloum (GSRL) nous apporte la profondeur d’analyse dont nous avons besoin.
Pour en savoir plus, découvrir la nouvelle rubrique "Un chercheur à la une" sur le site GSRL, inaugurée par Jean Laloum (lien).
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Programme "Asie" au GSRL, réflexion sur les sécularités multiples
A noter au laboratoire GSRL que la réunion du Programme Religions et sociétés en Asie. Recompositions, circulations, sécularisations du religieux,aura lieu vendredi 14 décembre 2018 prochain.
La discussion portera notamment sur l'ouvrage suivant: Multiple secularities beyond the West, Miriam Buchardt, Matthias Middel, Monika Wohlrab-Sahr, eds., De Gruyter 2015
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Doctorants du GSRL
Le @LaboGSRL est riche d'un extraordinaire vivier de doctorants sur les religions et la laïcité.
Le portail internet du GSRL propose leurs fiches (liens cliquables à partir des noms).
A consulter sans modération!
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Populisme et religion, colloque au CERI
Il y a indéniablement, dans nos démocraties, un tournant populiste qui a permis, dans de nombreux pays, l’arrivée au pouvoir de forces se réclamant du «vrai peuple» opposé à des élites expertes, corrompues, illégitimes.
Ces courants populistes sollicitent diverses ressources politiques et symboliques, dont le religieux. L’objet de ce colloque organisé à Sciences Po par le CERI et le GSRL est, précisément, d’aborder l’articulation entre populisme et religion selon trois axes, à travers trois tables-rondes.
Programme ici (PDF).