Le 8 juillet 2012, il y a deux ans jour pour jour, Éric de Putter était assassiné à son domicile de I'Université protestante d'Afrique Centrale (UPAC) à Yaoundé, au Cameroun, où il enseignait sous le statut de volontaire envoyé par le Défap (service protestant de mission).
C'est peu de dire que la non-élucidation de cette affaire laisse un sentiment de malaise, et bien des interrogations, dont se fait l'écho une lettre ouverte signée par trois membres de la famille du défunt, et récemment envoyée aux "paroisses et églises partenaires du DEFAP". Ce dernier a mis en ligne depuis trois semaines un copieux dossier sur cette affaire, qui permet de faire le point (lien).