En France, la jurisprudence permet de dénoncer publiquement la religion, moquer ses fondateurs, ou de témoigner d'avoir été délivré de la religion (cf. Charlie Hebdo etc.), mais interdit (en principe) d'insulter des religieux. L'idée peut être attaquée, pas la personne (lien).
En est-il de même pour l'homosexualité? Ou l'homosexualité est-elle en passe, en France, d'être davantage protégée, dans les prétoires, que la religion, écornant au passage le principe républicain d'égalité? C'est tout l'enjeu des délibérés attendus d'un procès en appel, après un premier jugement à Angoulême le 2 novembre dernier (lien). Le CNEF (Conseil National des Evangéliques de France) a réagi le 7 avril par un communiqué (lien). A suivre...
Du point de vue de l'histoire des libertés et des valeurs républicaines, la décision du 25 mai fera date.











Alors qu'avec la toute récente arrestation de Salah Abdeslam à Bruxelles, le terrorisme revient plus que jamais en tête de liste des passions et des peurs médiatiques, il est bon de refroidir le débat avec le recul de l'histoire. Pour cela, l'hebdomadaire
Les attentats qui viennent de frapper la Côte d'Ivoire dans la station balnéaire du Grand Bassam, le 13 mars 2016, ont pour objectif de semer la haine. Et faire grandir la peur.
À l'approche d'un grand colloque sur l'
Les choses se clarifient aux Etats-Unis
Kamel Daoud est journaliste et écrivain, fin connaisseur de l'Afrique du Nord. Dans une chronique engagée publiée en version papier le 5 février (







