Au détour de Gospel et francophonie (lien), on peut lire, page 194, que "les Noirs restent très largement sous-représentés sur les écrans du cinéma français dans les deux premières décennies des années 2000".
Un talentueux collectif de seize actrices vient de signer un livre salutaire (aux éditions du Seuil) pour bousculer les stéréotypes et favoriser une plus grande diversité dans le cinéma français. Un milieu du 7e art qui s'auto-congratule pour son ouverture supposée, mais qui se révèle souvent bien plus conservateur que les milieux universitaires ou médiatiques, par exemple... Ces derniers ont pourtant aussi des progrès à faire en matière de mixité et d'émancipation postcoloniale des consciences et des pratiques.
Total soutien à Aïssa Maïga et ses consoeurs.... et n'oublions pas les hommes noirs, qui sont AUSSI concernés par une mise à l'écart trop fréquente des bons rôles dans le cinéma français.





Loin d’être un discours seulement religieux, le sermon permet aux orateurs protestants de délivrer un message sur la res publica, c’est-à-dire l’intérêt général, les fondements et principes de l’organisation de l’État, la souveraineté et enfin le bien public. 
Croissance, organisation, reconnaissance.... Quelques-uns des défis des protestants évangéliques de France, de mieux en mieux repérés par les pouvoirs publics. 
J'ai souvenir que ma professeure d'histoire sociale, l'excellente Annie Fourcault, rappelait que dans les années 1930, le PFC se moquait de la SFIO en transformant le sens de ses initiales en Se Fout Intégralement des Ouvriers (SFIO).
A lire dans 














En France, le délit de blasphème, ou assimilé, a souvent été utilisé pour restreindre les libertés (cf. le très bon livre de Jean Boulègue,
A signaler en France (et à saluer) ce jeudi, la sortie d'un numéro spécial de l'hebdomadaire protestant